Projets et activitésProjectos e actividades

L’association Mémoire Vive/Memória Viva a pour but de recueillir et transmettre la mémoire de l’immigration portugaise. Dans ce sens, notre préocupation a toujours été d’aller vers la compréhension des phénomènes migratoires portugais, notamment en valorisant l’expérience de celle-ci. Ainsi, la construction d’un Centre de Mémoire Virtuel (sudexpress.org) ou la constitution d’un fond d’archives sur l’immigration à la BDIC ne mettent pas uniquement en avant une possibilité d’étude « académique ». Elle permettent la compréhension des parcours migratoires et des vécus qui sont par nature multiples. C’est par l’intermédiaire privilégié des témoins de l’immigration portugaise, trop longtemps restés sans voix, que nous espérons construire une mémoire collective. Notre campagne de recueil d’entretiens d’acteurs de l’immigration portugaise est également un pas vers cet apprentissage d’une mémoire collective à travers des parcours singuliers.

Mais ces initiatives valent peu si elle ne se lancent pas dans la transmission de cette mémoire de l’immigration portugaise. Le centre de mémoire virtuelle mettait déjà l’accent, à travers notamment d’une navigation misant sur l’expérience (Nous sommes transportés à bord d’une train ou sur le quai d’une gare), sur une recherche nouvelle de diffusion d’un contenu fouillé. La possibilité de s’exprimer sur le site, notamment à travers les textes de la rubrique « chronique de notre histoire » ont ouverts des possibilités nouvelles. Il semble aujourd’hui impératif de rendre possible le témoignage à travers le media vidéo. De plus, nous tentons de donner toujours plus de couleurs à nos actions pédagogiques, toujours dans un souci d’éducation populaire et de d’ouverture.

L’association Mémoire Vive/Memória Viva a pour but de recueillir et transmettre la mémoire de l’immigration portugaise. Dans ce sens, notre préocupation a toujours été d’aller vers la compréhension des phénomènes migratoires portugais, notamment en valorisant l’expérience de celle-ci. Ainsi, la construction d’un Centre de Mémoire Virtuel (sudexpress.org) ou la constitution d’un fond d’archives sur l’immigration à la BDIC ne mettent pas uniquement en avant une possibilité d’étude « académique ». Elle permettent la compréhension des parcours migratoires et des vécus qui sont par nature multiples. C’est par l’intermédiaire privilégié des témoins de l’immigration portugaise, trop longtemps restés sans voix, que nous espérons construire une mémoire collective. Notre campagne de recueil d’entretiens d’acteurs de l’immigration portugaise est également un pas vers cet apprentissage d’une mémoire collective à travers des parcours singuliers.

Mais ces initiatives valent peu si elle ne se lancent pas dans la transmission de cette mémoire de l’immigration portugaise. Le centre de mémoire virtuelle mettait déjà l’accent, à travers notamment d’une navigation misant sur l’expérience (Nous sommes transportés à bord d’une train ou sur le quai d’une gare), sur une recherche nouvelle de diffusion d’un contenu fouillé. La possibilité de s’exprimer sur le site, notamment à travers les textes de la rubrique « chronique de notre histoire » ont ouverts des possibilités nouvelles. Il semble aujourd’hui impératif de rendre possible le témoignage à travers le media vidéo. De plus, nous tentons de donner toujours plus de couleurs à nos actions pédagogiques, toujours dans un souci d’éducation populaire et de d’ouverture.

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